Alors que tout les pays du monde s’organisent pour mettre fin à la consommation du tabac, au Maroc, une nouvelle mode commence à faire son apparition dans les cafés et même les supermarchés, “Chicha”.

En effet, il y a quelques années, cet instrument était limité dans les cafés libanais, orientaux, actuellement, “Chicha” est désormais presque partout dans les cafés, et elle est même mise en vente dans les supermarchés les plus réputés du royaume. Je trouve ceci vraiment désolant, ou va-t-on avec une mentalité pareille ?imiter l’occident ne suffit plus, maintenant, on commence à imiter les pays de l’orient, qui, eux sont très attachés à cette manière de fumer. 

Aux Etats Unis, il y a une loi qui interdit la cigarette dans les restaurants, et la personne qui ne respecte pas cette loi est contrainte à payer une amende d’une valeur qui va jusqu’à 750$, en France, fumer en dehors des lieux fumeurs coure le risque de payer une amende de 450£.

Au Maroc par contre, chaque personne, peut fumer quand elle veut, là où elle veut sans que personne ne lui reproche quoi que se soit, sauf quelques petites exceptions.

Le gouvernement doit imposer des lois contre le tabac, le ministère de la santé doit mettre fin à cette violation des droits des citoyens, sans oublier que “Chicha” est aussi nocive que la cigarette, et pour ceci, il faut obliger une amende d’une valeur élevée, pour qu’elle soit respectée, pour toute personne fumant dans les endroits non fumeurs, et il faut interdire la cigarette même dans les cafés.

Cette loi ne sera peut être jamais réalisé, mais gardons malgré tout l’espoir de voir un Maroc conscient des dangers qui attaquent la santé.                                                   walakin moi mablli ou sakan fa saflli domage   mdr  saad ruflex?

                                                                                  Gothique=Satanique ?

Il est vrai qu’actuellement ce sujet n’est plus aussi « célèbre » qu’il y a une année ou deux, mais il reste existant parmi les nombreux dossiers qui ont comme titre « tabou », en effet le gothique est très répandu de nos jours à l’étranger et même au Maroc, mais il demeure très délicat à discuter pourtant il faut en parler car il touche de nombreux jeunes marocains. Je ne vais pas commencer à citer l’histoire du gothique, ou le sens de ce mouvement qui date des années 80, en revanche je compte me baser sur ma propre expérience pour éclaircir plusieurs points qui ont rapport au gothique, ainsi que pour clarifier la différence qui existe entre le gothique et le satanisme.

Bijoux gothiques

Durant mon trajet scolaire, j’ai fais la connaissance de trois gothiques marocaines, la première fréquentait le même lycée que moi, cette fille était toujours habillée en noir, khôl noir autour et à l’intérieur des yeux, des cheveux mi-longs noir, et elle était ornée de bijoux à caractère violent qui comportent des décorations pointus ou tout simplement de couleur noir ou alors des pentacles, même sa ceinture que j’ai réussi à voir après la sortie des classes lorsqu’elle enlevait son tablier était faite en cuir et garnies de plusieurs bouts de fers et de plastiques tous pointus, sans oublier le « fameux » vernis à ongle de couleur noir et sur la poche de son cartable on pouvait lire clairement « METALLICA » donc ceci est une brève description de l’aspect vestimentaire d’une gothique. En ce qui concerne son comportement, Jihane était souvent avec deux ou trois filles qui elles ne sont pas gothiques, et il ne faut pas nier qu’elle était normale, elle discutait avec toutes les filles de sa classe, ce qui est bizarre voire inexplicable c’est que nul ne lui a reproché sa façon de s’habiller, étonnée je voulais lui demander le pourquoi de cette adhésion à un groupe particulier et plus précisément le gothique, après tant d’hésitation, j’ai fini par ne pas l’aborder, parce que tout simplement je ne recevrai aucune réponse, en revanche j’ai demandé à un professeur qui l’enseignait de lui demander si ses parents ne lui prohibaient guère son style, effectivement, il l’a fait et à notre grande surprise, elle avait répondu que son père n’était pas contre.